Dans le bureau de Norrington

Non je vous remerci

Parlez m'en je vous prie

**je sent que son offre va être assez bénéfique enfin plus pour lui que pour moi j'imagine ^^**

Beckett prit un air plus confident.

- bon. Parfait.

Il prit une profonde inspiration et regarda le ciel gris foncé par la fenêtre. Sans doutes qu'une tempête tropicale n'allait pas tarder à déverser ses pluies sur le sol de Port Royal...

- tout d'abord, je vais vous dire une chose que je n'ai jamais dite à aucun des hommes qui travaillent sous mes ordres.

Il marqua une pause, comme si chaque mot lui arrachait une douleur sans nom.

- je vous remercie pour vos services envers la compagnie des indes. Vous êtes devenu un officier important.

Il bomba le torse, emplit d'orgueil.

- j'ai un service à vous demander. Disons qu'en échange, vous aurez beaucoup plus de deux bâtiments sous vos ordres. Une promotion.

Encore un silence pesant. Beckett but une gorgée de l'alcool fort.

- Vous connaissez sans doute la légende de l'El Dorado?

Toujour deriere la porte , elle ne conprener rien et surtout pas le rapport entre le capitaine et l'ile de lEl dorado !

Je vous remerci dit il avec un sourire dissimulé

La légende? Vaguement

Gabrielle "dans sa tete"

- Pas du tout !!

Beckett regarda par la fenêtre d'un air rêveur.

- la cité bénie... On dit que là-bas, l'or est plus abondant que l'eau... et que la science de ses habitants est bien superieure à la notre...

Il soupira.

- Bref. Jack Sparrow sait où se trouve cette cité. Il ne le sait pas. Mais il le sait.

Il fit un sourire énigmatique avant d'ajouter, le regard dans le vague...

- Nous le lui feront se rapeller. Je veux que vous me l'ameniez ici.

Il avala une autre gorgée de Brandy.

- Vivant.

Gabrielle :

- arg !!!

Beckett cru entendre un bruit derriere la porte, et de sa mine neutre et sans expression, on vit naitre l'ombre d'un sourire. Il savait qui était derriere la porte.

- vous feriez mieux de vous dépêcher, Commodore... j'ai comme l'impression que nous ne sommes pas les seuls au courant de cette affaire... ajouta-t-il sur le ton de la confidence, pour ne pas que la personne qui les espionnait l'entende.

- oups !

Le Lord fit un rictus agaçé, il posa le verre sur la table et se leva.

- je crois bien que vous aurez besoin d'un allié... dit-il d'un ton neutre.

Il alla se poster devant la porte et l'ouvrit d'un air irrité.

En ententdant les pas du Lord se rapprocher gabrielle avait courru dns le fond du couloir pour essayée de s'y cacher en esperant qu'il ne la trouverait pas !

Beckett resta sans bouger devant la porte ouverte. Il observa les alentours, espérant voir l'espion, rien qu'une toute petite manifestation, une respiration trop forte, un mouvement trop brusque, un bruissement de tissus...
Il n'en eut rien.

- vous savez, dit-il d'une voix claire et forte comme s'il parlait seul, vous êtes dans un bâtiment de la Marine Royale... Qui plus est de la Compagnie des indes Orientales... Je n'ai qu'a appeller la garde et ils viendront vous chercher. Que vous le vouliez ou non. Je vous serais gré de vous manifester pour que je n'ai pas à appeller les soldats qui sont actuellement en train de se reposer... ça risquerait de les mettre de mauvaise humeur...

Il attendit. Toujours rien.

- j'ai un prix à vous proposer...

Il savait que les gens de cette espèce convoitaient surtout l'argent, et si c'était ce dont elle avait besoin pour se manifester, il lui en donnerait autant pour son grade. Il attendit donc, tapant du pied parterre, d'un geste agaçé.

Un petit bruit sortit du fond du couloir :

- Combien ?

Il laissa échapper un petit ricanement satisfait.

- autant que les gens de votre espèce convoitent... répondit-il.

D'un air etonnée :

- c'est a dire ?

- c'est à dire...

Il laissa un silence s'installer.

- disons que c'est vous qui fixez le prix... dit-il d'une voix à peine audible tant ça l'enervait d'avoir à traiter avec un Pirate.

mais la faim justifiait les moyens, et celle de Beckett était insassiable. Il aurait Sparrow, et ce à tout prix.

- Disons ... de quoi acquerir un bateau ! Je ne vai spas etre trop gourmande !

Puis elle sortit de sa cachette et s'avanca vers la porte du bureau et y entra tout naturellement sous les yeux etonnés de ce "cher" commodore

» Commodore Norrington
» Elizabeth dans sa chambre
» se balade dans les rues