visite à un vieil "ami"....

Mary avança à pas pressés à travers les rues pavées de Port Royal.Cela faisait longtemps qu'elle n'avait passé une journée à terre.Mais elle n'était pas là pour profiter du charme des tavernes qui composaient principalement les docks du port.Elle se hâta d'entrer dans le fort et de se diriger vers les bâtiments de l'administration.
Elle fut soufflée en découvrant le nombre incroyable de commis qui travaillaient là ainsi que le riche mobilier oriental qui surchargeait chaque bureau.

Elle décida néanmoins de ne pas s'attarder et avança d'un pas assuré vers le bureau de Lord Cutler Beckett.Tout en marchant,elle observait les tentures ainsi que les portraits des hauts fonctionnaires de la Compagnie des Indes qui habillaient les murs des couloirs.

Elle failli d'ailleurs se télescoper avec deux gardes en faction.Les deux hommes lui barrèrent le passage.Heureusement,il sagissait de Mullroy et Murtogg,les sentinelles les plus étourdies de la Royal Navy.

-Le passage est interdit !
-Lord Beckett ne veut pas être dérangé !

-C'est dommage,j'avais un rendez-vous important avec lui...,plaida-t-elle.

-Toujours la même excuse ! La dernière jeune femme n'avait pourtant pas l'air de venir discuter d'économie....
-Peut-être que si ! Elle avait l'air interressé...
-A mon avis,celle qui est venue la semaine dernière était plus crédible.

Mary profita de cette "profonde" discution entre les deux compères pour se couler derrière eux et continuer son chemin.Arrivée à un angle du couloir,elle se retourna pour s'assurer que les deux hommes n'avaient pas remarqué son absence : ils se chamaillaient toujours.
Un sourire apparut amusé apparut sur ses lèvres.

**Et dire que c'est la fine fleur de l'armée britannique...*

Elle trouva enfin la porte du bureau de Beckett.Mais étrangement,elle était entrouverte.Mary se risqua à glisser son visage dans l'entrebaillement : la pièce était déserte.Elle entra et fut fascinée par la gigantesque carte marine qui occupait le mur droit.
Elle décida d'aller prendre l'air en attendant le Lord et se dirigea donc vers le balcon.Elle s'accouda à la balustrade et apprécia le coucher de soleil qui rougissait l'horizon.

**On a une jolie vue d'içi**,songea-t-elle.Elle repensa aux dernières semaines de sa vie et à leurs péripéties quand elle aperçut un officier qui inspectait son navire.

**Que va-t-il chercher près du "Diament Bleu" ?**

Mais un petit mousse ne tarda pas à apporter à l'officier les papiers en règle du vaisseau.
Elle saisit leur conversation,portée par le vent d'ouest :

-Voilà,m'sieur.Tout est en règle.Mam'selle Mary doit être dans vos bureaux à l'heure qu'il est.Elle tardra pas.
-Tu es bien jeune pour travailler sur un bâtiment...et sous les ordres d'une femme ! Enfin...je verrai cela avec elle,je rentre au fort.
-Elle m'a dit qu'elle allait voir un certain Lord...Buquette ou quelque chose comme ça...
-Lord Beckett ? Interressant...Si tu la revoie,dit lui que l'Amiral Norrington souhaite la rencontrer.

**A peine arrivée et j'ai déjà des prétendants** s'amusa Mary en regardant l'Amiral s'éloigner.
Un sourire naquit sur ses lèvres.
**Amiral Norrington,je vous attends de pied ferme...mais je me demande où est passé Lord Beckett...**
Son regard passa sur la ligne de l'horizon.

**Il finira bien par arriver....**

-[center]

Mary se retourna lentement,un sourire amusé aux lèvres.


-David Mercer ! ,lança-t-elle sur un ton faussement joyeux.Cela faisait une éternité en effet.

Elle détailla son interlocuteur avant d'annoncer d'un ton neutre :

-Vous avez l'air d'avoir...réussi.Mais ne vous en fait pas : je suis içi dans le cadre de la loi.

Elle tira de son corset une lettre décachetée et lui tendit d'un geste gracieux.

Son attention fut attirée par les deux soldats.

-Je suis vraiment navrée messieurs,mais je n'avais pas le temps d'écouter votre charmante discution de toute à l'heure...Ne m'en veuillez pas et prenez plutôt un siège...


Mary entra dans la pièce et s'assit dans le large fauteuil en face du bureau en acajou.

Les soldats se postèrent près de la porte attendant un signe de Mercer pour intervenir .

- De toute évidence Messieurs vous avez encore faillit à votre mission .
Le bureau DE LORD BECKETT doit ete continuellemnt surveillé . Ce n est pas un salon ou n' importe qui (meme une dame) peut entrer sans autorisation express de ma part et ceci juqu'au retour du Lord

MULLROY et MURTOGG transpiraient à grosses gouttes MERCER pouvait les renvoyer arpenter les ruelles de la ville et pour eux ce serait finit la douce quiétude des bureaux feutrés ainsi que l'acool qui ne manquait jamis dans les carafon disposés pour les officiers.

**Mon attention fut captée par le joli corset que portait Marie Tempète .Sous ses airs de rebelles elle n'en restait pas moin une très jolie jeune femme aux formes harmonieuses qui ne demandaientt qu'a s'épanouir sous les caresses d'un homme ....pourqu oi pas moi ? .Sa peau joliement halée par les brises marines lui donnait un air de fraicheur que nulle autre femme à Port Royal ne possédait .

- Marie où dois je vous appeler Capitaine Marie Tempète cette lettre que vous me remettez est en effet un "laisser passer" qui vous autorise à circuler dans notre citdelle librement jusqu'à que j en décide autrement ...
car comme vous l avez constaté je suis devenu quelqu'un de puissant au sein de la compagnie des Indes et mon pouvoir durant l'absence de Lord Cutler est illimité.
Mais quel est le but de votre visite si matinale ?

Cette lettre de credit qui vous autorise à circuler librement n'explique en rien votre présence si matinale . Croyez que je serai ravi si le but de votre visite n'etait que le plaisir de me recontrer ...Plaisir partagé...

Je vous offre un brandy ma chère ? accompagné d'un de ces délicieux biscuits qu 'affectionne tant Lord BECKETT ? Vous serez ainsi plus à laise pour m'expliquer la rasion de votre présence içi .

Les deux soldats auraientt volontier vidé le contenu de la carafe en cristal deposée harmonieusement sur la petite table mais MERCER ,ce rustre, n y pensait meme pas . Ils durent attendre patiament le déroulement de l'entretien . tout aller se jouer dans les hueures à venir

La jeune femme prit le verre que lui tendait Mercer mais n'y toucha pas.

**Qui sait ? Je ne lui fait pas encore confiance.Et j'aime avoir l'esprit lucide lorsque je travaille.**

-La raison de ma visite ? Strictement confidentielle.Je suis venue içi afin de discuter avec Lord Beckett de petits arrangements...qui resteront entre nous.


Son regard tenta de sonder les yeux noirs de Mercer.

-Mais cela m'étonne qu'il ne vous ait rien dit...Vous parraissez si proche de lui.

**j 'etais très supris que Marie Tempête me fixa avec tant attention. Il est vrai que mon regard d'un noir profond (autant que mon âme) avait séduit plus d'une dans cette ville mais Marie ne serait pas une proie facile ; Il fallait la rassurer sur mes intentions dans un premier temps ensuite elle décourvrirait bien assez tôt mes projets ...**

- Vous ne buvez pas Marie ? une tasse de thé vous agrerait peut etre plus? Breuvage délicieusement sucré que Lord BECKETT m'a convaincu de boire durant nos longue années d'amitié .

Avant son départ Lord Culter BECKETT m'a affectivement prévenu de votre arrivée c' est la raison de ma présence dans ce salon à cette heure si matinale . Vous auriez du vous en douter , je suis au courant de tout .
Cependant les "secrets" (petit sourire narquoit) que vous devez nous communiquer sont restés vagues et Lord Beckett m a assuré que vous possediez des informations que vous etes seules à connaitre .
Durant son absence c'est moi et moi seul qui le répresente et pour pouvoir circuler à votre aise dans MA ville il vous faudra me faire confiance . Je saurai me montrer digne d'elle . Dans le cas contraire vous et "votre équipage" pourraient se trouver consignés à terre .

**mon coeur se mit a accélerer je sentais la sueur perler dans mon cou
il fallait qu'elle se confie à moi **

Mary se leva lentement et commença à arpenter le bureau.Elle laissa ses doigts glisser distraitement sur les reliures des livres de la bibliothèque imposante.


-Je suis venue quérir auprès de Lord Beckett les informations qu'il m'avait promises en échange de mes services.Il m'avait fixé rendez-vous aujourd'hui,mais apparemment,il est absent...

Son index s'arrêta sur un livre et un sourire apparut sur ses fines lèvres.

**Intéressant...**

-Autant vous dire que je tiens énormément à obtenir ses informations au plus tôt,lança-t-elle comme si de rien n'était. Quant à mon équipage...je n'ai qu'un seul mousse.

Elle s'approcha des deux sentinelles et leur tendit son verre.

-Tenez,messieurs.Je n'ai pas soif et il serait dommage de gâcher un si bon Brandy...Mais malheureusement,il faudra vous le partager.

Elle tendit son verre à Murtogg avec un immense sourire bon-enfant.Le soldat saisit le cadeau inespéré et répondit un "Merçi"chargé de gratitude à Mary.

-Mais je vous en prie,répondit-elle tout simplement.

Elle retourna s'asseoir dans son fauteuil,attendant la suite des évènements.

**j'avais résussi à déstabiliser Mary elle arpentait le bureau de Lord Beckett marchant de long en marge omme un animal prisonnier de sa cage . Ele était à la fois impatiente et tellement séduisante .Elle tenta de se donner une contenance en offrant un verre de vin à MURLOY. **

Vous aimez les livres Mary ? ils contiennnet tellement de secrets et surtout celui qui a retenu votre attention: "histoire de la Compagnie des Indes à travers les siècles" . Je sais que votre mère que j' ai jadis très bien connue appreciait la lecture elle vous auras transmis sa passion avant de ...............disparaitre mysterieusement .


- Mary je sais que vous aimez vos parents que vous en garder un lontain - souvenir . Lord Beckett a ,grace aux livres de généalogie qu'il possède, aréssi à retrouver la trace de vos parents .

Ces informations il me les a confié, avant de partir pour ce long voyage,
je suis le seul en mesure de vous aider a retrouver ceux qui vous sont chers ;ceux que vous ne réussisez pas à oublier,ceux qui ont façonner votre ame (**et votre corps**) .

**Mary Temête ne pourrait résister pendant de longue années elle avait vainement cherché à connaitre ses origines ; Nul n'avait pu l'aider **

Mary ne luttez plus contre votre destin rejoingez moi .

Mary eut un brusque mouvement de surprise.

**Mes parents ? Tout cela est si vieux...**

-Je ne les ai jamais vraiment bien connus.C'est mon oncle qui m'a élevée et il ne m'a jamais vraiment parlé d'eux.Ce que j'en sais,je l'ai appris grâce à mes voyages.

Elle s'approcha de la fenêtre et scruta l'horizon.A travers ses paupières mis-clauses,elle ressassait le peu qu'elle savait.

-Vous avez connu ma mère...avant ou après qu'elle soit accusée de sorcellerie ? Si je me souviens bien,elle fut brûlée pour cela...Mon père,lui,a servi quelques temps à bord du bateau de mon oncle avant de disparaître lors d'une escale.

Elle poussa un léger soupir : tout cela appartenait au passé et était douloureux.

-Vous avez du nouveau ?questionna-t-elle après avoir tourné la tête vers Mercer,rejetant avec grâce ses longs cheveux châtins en arrière,dégageant alors un subtil parfun d'ocre et d'épices.

**j'avais enfin capté de l'interet dans la voix de Marie temête .plus les années passaent et olus elle ressemble à sa mère : belle intelligente boudeuse sans compter cette beauté que niul autre ne possède sur cette Ile **

- C 'est vrai Marie j ai bien connu votre mère avant qu'elle ne soit brulée

**violente douleur au niveau du coeur**

-Vous lui ressemblez beaucoup vos cheveux,vos yeux, votre silhouette . A chaque pas c'est elle que je revois .
C'est pour cette raison que mon très cher ami Lord BECKETT ma confié de nombreux secrets à votre sujet . Votre avenir dépend maintenant de vous .

Si vous voulez tout savoir et plus encore il faudra me divulguer d'abord les services que vous seriez prete à nous rendre / Tel est le marché .

**Il esperait que Marie voudrait enfin connaitre la vérité sur ses orignies
mais par mesure de prudence toutes les issues étaient gardées par des soldat en armes.**

Les deux gardes étaient toujours présent dans le bureau Ils savaient qu'il ne partiraitn pas avant que l'affrontement cesse .Durant les dernières semaines ils avaient assisté a de nombreuses disputes entre Lord BECKETT et MERCER au sujet du captain Mary Temête.

Son regard se durcit soudain.

-Croyez-vous que veuille tout savoir ? Ma mère a été brûlée vive alors que je n'avais que quatre ans.Je ne serai pas vaniteuse au point de me dire assez forte pour savoir la vérité.Le passé appartient au passé : je le laisse sans regrets derrière moi.

Elle regarda de nouveau par la fenêtre,vers la port,là où était amarré son bateau.Elle eut la soudaine envie de partir,de retrouver le vent sur son visage ainsi que la liberté.Elle voulait abandonner ce bureau fermé,la terre où l'attendaient tout ces problèmes.

Un sourire peiné passa sur son visage.

-Mes services ? J'ai espionné tous les gouvernements de ce monde.J'ai posé le pied sur tous les continents connus.Mais aujourd'hui,je souhaite arrêter toute activité pour raisons personnelles.

On voyait bien dans le ton de sa voix qu'elle ne voulait pas s'étendre sur le sujet.

-Mais il me semble que nous avons travaillé ensemble il y a de cela quelques temps...Lorsque Lord Beckett cherchait encore à se faire une place dans le gouvernement des Caraïbes.

**malgrés la dureté de son regard je savais que Mary aurait tout donné pour connaitre son passé **.

- Mary je connais votre passion pour l'océan mais je sais aussi que la vie d'une femme à terre avec son mari (pourqu oi pas moi ?) et ses enfants .

En l'absence de Lord BECKETT je suis le seul à pouvoir vous aider ou vous aimer si vous le désirez ou vous pendre si vous me résistez .

- Vous dites avoir espionné tous les continents je ne m'interesse qu'à l'élimination totale des pirates Si vos renseignements sont à la hauteur de votre beauté votre richesse est faite . Sinon.........

Il est vrai que nous avons déja travaillé ensemble ; dans mon souvenir vous n'étiez encore qu'une'enfant . A present vous pourriez combler un homme comme moi qui ferait de vous la femme la plus respectable du Port et la plus puissante aussi .

Mary resta étonnement calme malgré que la situation soit devenue extrèmement glissante.

Elle lança,le regard rêveur :

-Il est vrai que vous semblez être un homme respectable,mais certainement pas le plus puissant...Si j'épouse Lord Beckett,je serai la première dame des Caraïbes et j'obtiendrais une place de choix à la cour.Pouvez-vous en faire autant ? Non,bien sûr,mais c'est ce qui me plait chez vous.

Elle se retourna lentement vers lui.

-Un homme simple...

Elle avança à pas lents vers lui.

-Qui a de l'autorité et qui a toujours ce qu'il veut...

Elle s'approcha tout près de lui.

-Qui a influencé les plus grands...

Elle croisa ses bras autour de son cou.

-Une femme raisonable ne pourrait que succomber...

Leurs lèvres se frolèrent.

-Mais je ne suis pas ce genre de femme...

Elle relâcha soudain son étreinte et alla se servir un verre de Brandy qu'elle vida d'un trait : l'alcool fort brûla sa gorge et lui fit reprendre un peu plus contact avec la réalité .Sous son masque calme,son coeur battait à tout rompre : elle jouait là un jeu bien dangereux...mais flirter avec la mort était son passe-temps préféré...

**MARY semblait conquise par mon charisme; hier encore elle m'ignorait ,elle me méprisait je n 'etais que le souffifre de Lord BECKKETT
Mais celui-ci loin de notre ville j'avais toutes mes chances malgré ce qu'elle prétendait.**

-Mary........(sourire de braise) je vous sent hésitante encore; Lord BECKETT ne saurait faire un mésaliance en vous épousant vous n'etes pas de son monde malheureusement. Lui doit penser à sa carrière ainsi qu à sa promotion au sein de la Compagnie : Son maraige doit pouvoir le mettre au sommet .Seule une aristocrate au sang bleu remplie cette fonction .

Imaginez toute ces dames à Port Royal qui se moqueraient de lui et de Voys souvenez-vous de vos erreurs passées ?



Avant son départ il m'a chargé de juger de votre loyauté à notre égard ainsi qu'à l'égard de la Compagnie des Indes .Je suis le seul à décider si oui ou non votre présence à nos cotés est souhaitable .

**Pendant qu'il parlait il ne pouvait détacher son regard de Mary de sa beaute ,du parfum qu'elle laissait dans son sillage ainsi que du baiser volé
il saurait se faire aimer d'elle .

- Mary il est vrai que ma position est précaire au sein de la compagnie mais si vous "m'accordiez vos faveurs" disons pendant un temps certain je pourrais faire de vous une femme digne d'interet aux yeux de Lord BECKETT .

**Je ne voyais pas ce qu'elle pouvait trouver à ce Lord prétentieux puant d'orgueil , toujours coiffé d'une perruque alors que tout le monde savait qu'il était chauve suite à une maladie veinerienne contractée il y a quelqu'un années. D4Ailleurs ces affreuse maque sur son visages en étaient la preuve .ON ne chosit pas ses patrons pensa t'il ..............

-Réflechissez bien Mary si vous m'accrodez vos faveurs :

je saurais vous le rendre au centuple et vous réveler des secrets .
Sous cet unfifome haustère il y a un corp d'homme désireux de vous rendre heureuse de faire monter la seve de vos veines .Faire de vous une vraie dame avec de bonne manière et une garde robe disons plus ......seyante

Réflechissez

(Bon je risque pas d'ecrire des roman lol )

Soudain , on put percevoir des bruits des talons foulant le sol avec un folle entrain .
Gabrielle s'etait retrouvée enchainée a deux gardes en deux temps et trois mouvements de leurs part .

-Mais ... messieurs !Allez vous enfin m'expliquer que me vaut l'honneur de cette invitations dans vos quartiers si ... mouvementé!

Un des hommes s'arretta brusquement et lui secoua les bras tout en lui aboyant a l'oreille :

-Sachez mademoiselle ! Que tout actes de vols et de pillerie sont des actes qualifié de piraterie !

Elle adopta son comportement de petit chien non seulement mattu mais surtout etonné :

-Piraterie !? Mais enfin jamais ... Voyons une dame de ma classe ! En faite je vais vous expliquez !

[i]Les gardes n'en croyaient pas un seul mot et elle le savais mais c'etait dans leurs caractere que de toujours essayer de s'en sortir par n'importe quel moyens !Les gardes l'ecouterent tous de meme avec interer tout en sortant un sourire narquois et moqeur :

(HS :desoler je le finirai tout a l'heure petit contre temp !)

(hello ma gabi ! bienvenue sur meetic.caraïbes,ou comment devenir la future mme Mercer XD)

Mary ne se démonta pas.

-Permettez moi de vous dire que vous n'êtes pas mon père ! Je suis adulte et je mène la vie qu'il me plaît.Vous n'avez aucun droit de regard.J'épouserai qui je voudrai,même personne,mais cela ne vous regarde pas !


La jeune femme se dirigea vers la porte pour savoir d'où venait ce bruit de conversation.

(moi non plus lol mais il s'est pris de passion pour mon corset alors...XD)


Mary sortit précipitement du bureau : ce n'était pas vraiment l'envie de connaître la raison de cette altercation qui l'avait poussée à partir,mais plutôt prendre ses distances avec Mercer.Elle avait besoin de faire le point,de réfléchir.

Elle se télésocpa avec l'un des gardes.Le malheureux se retrouva au sol,poussant des jurons,alors que la jeune femme avait réussit à garder l'équilibre en s'accrochant au second soldat.

C'est là qu'elle reconnut la prisonnière.

-Gabrielle ! Comme cela faisait longtemps ! Je suis diablement contente de te voir,s'exclama-t-elle avec un immense sourire.

-Oh rien de vraiment palpitant...Juste quelques vieux fantômes du passé et une demande en mariage plus ou moins étrange.La routine quoi !


Elle incendia les gardes du regard.

-Messieurs,je vous serai extrèmement reconnaissante si vous vouliez bien lâcher mon amie içi présente.Et je ne plaisante pas.


Mary savait très bien que les gardes ne feraient rien,mais elle avait un pseudo allié qui aurait certainement son mot à dire.Elle fut soudain heureuse d'avoir répondu une sorte de "oui" à Mercer...Elle entra à la suite de la petite troupe dans le bureau qu'elle avait quitté quelques minutes plus tôt.Elle eut un pincement au coeur : ce bureau avait pour elle des allures de prison dont on ne peut s'échapper.

**Mercer se tenait bien droit r afin d'affirmer sa posoiion de chef**

- Messieurs les gardes , faites attention ce sont des dames enfin je me comprends..... .

Les deux gardes surpris par tanT de clémence de la part de Mercer relachèrent les deux jeunes femmes qui se retrouvèrent dans le bureau de Lord BECKETT

- GABRIELE encore vous .IL me semblait vous avoir expliqué que Port Royal est une ville ou aucune rapine n 'est tolérée . Voys connaissez la punition pour les voleurs le fouet ne vous a t'il dont rien appris ?

****MERCER savait que Gabrièle et Mary étaient très liées elle avait fait le "pacte du sang" voilà de nombreuses années : leur sang s'etaient mélés dans leurs veines et depuis rien au monde ne pourraient les séparer.
Rien ni personne .**

**Peu importe Gabrièle n'interessait pas Mercer si peut etre comme monnaie d'échange il est vrai que dans ce monde de pirates les femmes avaient une certaine valeur comme des tonneaux de rhum . il décida,pour le momment de rester courtois et de la ménager .**

- Mesdames prenez place vous allez rester un long momment avec moi .
Je pense que nous avons beaucoup de choses à nous dire et qui sait peut etre l'une d'entre vous ressortira libre de ce bureau .

**Mercer voyait le désespoir sur le visage de Gabrièle et de la fureur sur celui de Mary qui comprenait maintenant qu'elle était en danger du momment que Gabriele était revenue **

-Mesieurs les gardes doubler la garde aucune de ces demoiselles ne doit quitter cet endroit sans mon accord .

La garde se doubla et les femmes étaient prise au piège

Il est vrai que Mary était furieuse : ses yeux lançaient des éclairs.Mais pour qui se prenait-il ? Beckett avait à peine quitté la ville qu'on trouvait un nouveau despote pour le remplacer,temporairement du moins.

-Gabrielle est sous ma protection.Si une peine est prononcée contre elle,je souhaite partager le châtiment.Et je vous serai extrèmement reconnaissante de clore cette entrevue rapidement,je suis fatiguée : je prendrai mes quartiers dans les appartements de Lord Beckett jusqu'à son retour.Je voudrai également partager ma chambre avec Gabrielle,on ne sait jamais,s'il vous prenait l'idée de lui faire du mal dans mon dos.Je suppose que vous n'y voyez pas d'objections ?

Le ton était sans appel : sa requête devait recevoir une réponse favorable,sous peine de la mettre dans une sourde colère.

Mary savait bien que Gabrielle était une tête brûlée : c'est pour cela qu'elles s'entendaient si bien.Mais elle ne voulait pas conforter Mercer dans son idée de pouvoir absolu.
Elle voulait cependant voir la réaction du mercenaire : tuerai-t-il son amie ou l'épargnerai-t-il pour lui prouver son amour ? Mais dans ce cas,Gabrielle deviendrait une rançon.
Elle se demanda ce qu'aurait fait sa mère dans les même conditions.


-Que le ciel nous vienne en aide...murmura-t-elle pour elle-même.


Elle eut soudain une idée qui pourrait bien les sortir d'affaire toutes les deux.